BENEVOLAT

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PLACES DE THEATRE OFFERTES  POUR LES BENEVOLES :

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Vos missions :

- Aider au déchargement des camions de décors les samedis matin (09H - 11H)

- Aider au rechargement des camions de décors les dimanches à l'issue de la représentation (19H30 - 21H)

- Aider à la billetterie (contrôle des billets)

- Aider à l'accueil du Théâtre (contrôle des billets)

- Aider à la buvette

contactez-nous :

lasceneaujardin@orange.fr

Adresse :
Théâtre de la Faisanderie
Potager des Princes
17, rue de la Faisanderie

60500 Chantilly

Renseignements :
03 44 57 39 66

Candidature :

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et lien vidéo à
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Atelier Théâtre Actuel présente :

Mise en Scène : Arnaud Denis

Quoi de plus hasardeux que la rencontre de Jean-Baptiste Poquelin et de Madeleine Béjart ? L’un est le fils de bourgeois parisiens, l’autre une comédienne excommuniée qui avec son frère parcourt les routes de France.
Pourtant leur union va durer près de vingt ans. Jean-Baptiste va être long à accoucher de Molière, et c’est en 1661 – après L’Etourdi et Les Précieuses ridicules - qu’il se fait remarquer auprès du roi Louis XIV avec Les Fâcheux. Mais c’est aussi cette année-là, celle de ses trente-neuf ans, qu’il va décider d’épouser la fille même de Madeleine, Armande, de vingt ans plus jeune que lui, et le mariage aura lieu en janvier 1662.
Mariage d’amour ou mariage d’intérêt ? Difficile d’en connaître la raison exacte.
L’évènement est considérable. Par ce mariage, le grand auteur donne facilement prise aux quolibets et aux médisances, certains bas esprits allant jusqu’à prétendre qu’il épouse sa propre fille. Dès lors, la moquerie et le cocuage scellent son avenir.
Pourquoi les avoir provoqués ? Certes, de L’Ecole des femmes au Misanthrope, il va en tirer des accents déchirants, mais l’homme privé aura payé un lourd tribut à l’homme public.
Sa faiblesse nous le rend davantage humain et la figure de Madeleine, égérie du premier jour, plus attachante.
A une époque où se côtoient Boileau, La Fontaine, Corneille, où la seconde partie du XVIIème siècle devient une fulgurante éclosion de tous les arts, je me suis surpris à décerner à ce couple la palme de l’union libre heureuse et malheureuse. Ce couple devenu classique et si moderne en son temps, où le génie et le talent se sont mêlés, est à jamais dans la mémoire du théâtre.

Gérard SAVOISIEN

L’Humanité : Un des beaux moments de cette rentrée. Une mise en scène élégante.

Christophe de Mareuil : parfait dans le rôle, avec la retenue, l’angoisse et la démesure que l’on imagine. Anne Bouvier : brillante, attachante, vibrante, elle est remarquable. 

Mademoiselle Molière rend heureux.

Télérama : Une mise en scène simple et vive d’Arnaud Denis.

Belle promenade dans le temps. Et l’éternité du couple. 

Le Parisien : Un de nos coups de coeur. Poignant. Un excellent moment de théâtre.


Vaucluse Matin : Anne Bouvier et Christophe de Mareuil jouent avec beaucoup de finesse, d’émotion et de complicité les derniers instants de leur vie commune. Un très beau moment de théâtre. La mise en scène est alerte, vive. Le public ressort touché.

L'Express : Gérard Savoisien a composé une pièce insolite, crue et passionnante. C'est puissant et proche de nous, historique et humain, drôle et déchirant. 

Théâtral Magazine : Anne Bouvier passe de la fantaisie à l'émotion la plus intense. Elle est épatante. Christophe de Mareuil affiche un jeu tout en soudaineté, d'insouciance teintée de torture sentimentale. Ils sont deux très beaux comédiens dont la mise en scène d'Arnaud Denis orchestre le duo avec goût et talent. Une pièce historique sans être une pièce de musée. Pleine de vie. 

Figaro.fr : Un des dix spectacles immanquables de la rentrée. Anne Bouvier, solaire, partage l'affiche avec Christophe de Mareuil, plus que convaincant dans le rôle de Jean-Baptiste Poquelin. Un délice !

SAMEDI 24 AOÛT 19H / DIMANCHE 25 AOÛT 18H
Adolescents et adultes (durée 1h20)